Quand on les cite, les textes écrits par d'autres doivent être bien lus, relus et compris
Le contexte est aussi important : j'ai donc écrit qu'en 1945, la langue allemande était la langue des ennemis vaincus par … les Alliés. C'est du moins ce qu'on m'a appris en classe en 1956, j'ai rectifié de moi-même certains éléments surtout quand j'ai fait sourire mes collèges de bureau à Bâle, à l'âge où ma naïveté ne m'avait pas encore éclaté à la figure. Au début des années 60 avec le Traité de Paris entre De Gaulle et Adenauer, les ennemis étaient devenus des … amis
Ca, c'est pour l'histoire, ou ce que les générations futures retiendront ( si on leur enseigne encore l'histoire )
Il est tout-à-fait vrai d'écrire, comme je l'ai fait maintes fois ici, en Alsace on parle une multitudes de dialectes germaniques ( comme en Suisse entre autres ), dont celui de Mulhouse, et il n'est pas erroné de dire que j'ai toujours entendu parler d' Elsasser ditch, ayant vécu et grandi place de la Réunion entre 1949 et 1972
( terme Le Ell sasich est venu plus tard, mais ce n'est pas la même chose selon qu'on soit à Lauterbourg ( j'y ai de la famille, je sais de quoi je parle ) ou à Ferrette
Effectivement on n'y parle pas l'allemand comme celui de Hanovre, c'est certain
Mais d'aucuns - et ils n'ont rien perdu - ont appris à l'écrire et à le lire, et à élargir leur horizon vers les pays allemands ( le Bund, la Fédération ), la Suisse alémanique, l'Autriche, le Haut-Adige en Italie, les cantons rédimés de Belgique où l'allemand est troisième langue nationale et, sauf erreur, dans le sud du Danemark ou Slesvig
Comme je ne suis le prince héritier de rien du tout, je reste humble, et j'accepte bien volontiers toute rectification dont je ne pourrais que profiter. Ma belle-mère disait : la vieille ne voulait pas mourir, elle en apprenait tous les jours
Evidemment, plus ce sera fiable, plus on appréciera dans l'aimable assistance de ce forum qui a le grand mérite d'exister et, depuis quelque temps, de laisser toutes les sensibilités s'exprimer