Quand je travaillais en Suisse il y a 50 ans, en hiver, le wattman n'ouvrait plus sa porte avant et en plus, il avait une couverture sur les genoux
L'ouverture des portes provoque, me semble-t-il, un mouvement de chaud et froid particulièrement propice à la maladie !
Il y a 50 ans !
Entretemps, on finit par se réveiller, comme dit LALL ZASS de ce matin : les Chinois ne comprennent pas que les Français se serrent encore la main !
Ils feraient mieux de se serrer les coudes, mais ça, c'est une autre histoire …
Je suis tout-à-fait de l'avis d'Henrala : les conducteurs de bus ne devraient EN RIEN être concernés par la vente des titres à l'instar des wattmen dont les cabines sont même fermées. Or, le bus s'arrête souvent, contrairement au tram, s u r la voirie, au bord du trottoir, mais pas toujours en-dehors de la circulation : un bus s'arrête, le conducteur doit "vendre" un ticket, et à l'arrière, la circulation individuelle est parfois arrêtée dans l'intervalle. Par rapport au tram, c'est un non-sens, sans compter la perte de temps pour tous. Henri a raison de dire que les tickets peuvent être achetés de façon plus économique et de diverses manières, en 2020 quand même !
Je m'étonne que ni les syndicats ni la direction n'aient pas l'air de tenir compte de cette différence de traitement entre un wattman déchargé de cette contingence et un/e conducteur / conductrice astreinte à un service qui ne devrait pas être de son ressort : la manipulation d'espèces !
Par ailleurs, mais je n'ai pas d'opinion arrêtée sur le sujet, des réseaux pratiquent la gratuité des transports publics. Dès lors que ceux-ci sont efficaces avec un maillage de l'agglomération, ne serait-ce pas une idée à étudier ? D'autant plus que le déficit est toujours mis à la charge de tout un chacun par la fiscalité, et que, d'autre part, on économiserait en supprimant la perception de fonds tous les appareils concernés, sans compter les contrôles ( mais là, je ne passe pas vite sur le sujet, mais carrément t r è s vite ! ), que la comptabilité serait déchargée de cet aspect, ne faudrait-il pas, comme certaines villes, envisager cette question ?
Le stationnement des véhicules serait un problème moins aigu. Solution intermédiaire mais intéressante à Mulhouse : les 2 euros symboliques réclamés à l'Université ! Et là, je dis : POURVU QUE CA DURE !
Evidemment, tout le monde peut avoir une ( bonne ) idée sur la question ...