Au terminus Centre nautique Rixheim, ligne 11.

L'intérieur du bus où on voit bien la barrière de protection, mon sac à dos sur le large siège où je me suis installé pour tout le voyage et l'autre photo où on voit bien la caméra Gopro sur le parebrise.
Il y en a qui s’imagine que j'ai filmé depuis la cabine en tenant ma caméra comme je le faisais encore l'année dernière en automne avant que je m'achète la Gopro.
Il y a une sacrée différence maintenant car la Gopro a un stabilisateur très bon et surtout plus besoin de maintenir la caméra fermement près du conducteur ce qui n'était pas facile surtout dans les virages et assez fatigant.
Maintenant suffit de fixer la caméra sur le parebrise avec une ventouse, la mettre en marche puis s’installer tranquillement bien assis dans le bus loin du conducteur. La batterie de la caméra Gopro a une autonomie d'un peu plus d'une heure.
Photo prise depuis la barrière de protection. on voit bien la Gopro.

En allant et en revenant j’avais bien sûr mon masque sur tout le trajet. J’ai eu tout le loisir d’observer les passagers. Bien, il n’y avait pas beaucoup de monde, max. 5/6 personnes.
Par contre quant à l’utilisation du masque c’est assez aléatoire. Un jeune n’en avait pas et se faisait « tout petit » la conscience pas tranquille, un autre assis au fond le masque sous le menton et en train de téléphoner. Une autre personne avait le masque sous le nez. Une personne âgée tenait le masque par le bout et le maintenait loin de la bouche certainement elle avait des difficultés pour respirer. Deux personnes avec le masque bien positionné. Ah oui, moi aussi j'avais mon masque.
Hier matin j’ai eu un coup de fil de Paris pour une enquête à la demande de Transdev où j’ai répondu à de nombreuses questions sur l’utilisation des transports en commun de la ville. Cela a duré près de 20/30 minutes. Comme je suis un inconditionnel des transports publiques j’ai bien répondu à toutes les questions et donné mon opinion. La personne était étonnée qu’à Mulhouse on n’ait pas besoin de valider les abonnements sur une borne automatique ou lors des correspondances les titres de transports comme cela se fait ailleurs comme par ex. Strasbourg, Grenoble…
On avait même évoqué le fait que les conducteurs de bus ne vendent plus de titres de transport du fait du Covid-19 et que cela pourrait par la suite devenir éventuellement la norme, les usagers pouvant acheter par avance les titres de transports.