Un grand merci à Henri pour l'article de 1962 ; en ce qui concerne la langue, on parlait sans doute la même, à peu de chose près, qu'aujourd'hui, mais chacun l'écrivait à sa façon, wia eim d'r Schnàwel g'wàchsa esch !
Pour moi, avis personnel mais de plus en plus enraciné, l'alsacien est essentiellement une langue orale, et vouloir l'écrire pour que tout le monde puisse la lire et comprendre ce qu'il lit, relève, mise à part nos grands poètes alsaciens, de la gageure. La version écrite de l'alsacien est l'allemand, encore une fois sauf nos créateurs d’œuvres littéraires tels que Katz, Zumstein, Schickele, Weckmann, Leser et tous les autres. Mais pour nous le commun des mortels ...
Sàlü binànder