Sujet: Mulhouse, 27ème Schweissdissi Tàg. 26-6-2022

[Henri]

27ème journée du Schweissdissi. Petit discours pour cet évènement dimanche matin du 26 juin 2022 à 11h00
Quelques vues de l’après-midi avec les deux orchestres « L’Oberkreiner Quintet Alsacien puis l’Ensemble « Loyola » de Colmar.

                                                                 https://youtu.be/zFTjQPGfvhM

[Richard.T.M]

Comme disait Germain Muller : Wir sind die letzten, die allerletzten ! ( Nous sommes les derniers, les tous derniers )

[Bliz]

Ce genre de manifestation me fait franchement ricaner, car je n'y vois absolument aucun sens. Si on veut faire la nouba, qu'on la fasse en toute simplicité et qu'on ne se cache pas derrière des prétextes stupides.  Et puis « Oberkreiner Quintet Alsacien ». N'a-t-on vraiment rien trouvé de mieux comme nom ? Je trouve ça ridicule. Cela me fait de nouveau penser au Louvre Alsacien, où l'on a aussi essayé de se faire mousser en s'armant de plumes étrangères. Passons pour le restaurant de Paris du fameux Weiss Gueschti, c'était au moins du folklore.

Comme disait Germain Muller : Wir sind die letzten, die allerletzten ! ( Nous sommes les derniers, les tous derniers )

« So sechs wie wir fünf gibt es keine vier mehr, denn wir drei sind die zwei einzige ! » disait l'autre… 

Àla bonheur !

[Henri]

Ce genre de manifestation me fait franchement ricaner, car je n'y vois absolument aucun sens. Si on veut faire la nouba, qu'on la fasse en toute simplicité et qu'on ne se cache pas derrière des prétextes stupides.  Et puis « Oberkreiner Quintet Alsacien ». N'a-t-on vraiment rien trouvé de mieux comme nom ? Je trouve ça ridicule. Cela me fait de nouveau penser au Louvre Alsacien, où l'on a aussi essayé de se faire mousser en s'armant de plumes étrangères. Passons pour le restaurant de Paris du fameux Weiss Gueschti, c'était au moins du folklore.

Comme disait Germain Muller : Wir sind die letzten, die allerletzten ! ( Nous sommes les derniers, les tous derniers )

« So sechs wie wir fünf gibt es keine vier mehr, denn wir drei sind die zwei einzige ! » disait l'autre… 

Àla bonheur !

Pourquoi avoir toujours un esprit négatif?  "Ricaner"  "Ridicule" "Prétexte stupide"  Et critiquer  le nom de l'ensemble des musiciens! Franchement vaudrait mieux s'abstenir de ce genre de commentaires.

[Richard.T.M]

Je ne donne pas mon avis sur le groupe folklorique : ça relève du goût de chacun, lequel ne se discute pas

Mais s'agissant d'un forum, il est tout-à-fait légitime que chacun puisse y exprimer librement son avis, sa sensibilité, lesquels ne sont pas imposés comme dans une cour de caserne !

Si je ne partage pas une opinion, je l'écoute au moins, et avec respect, sinon il ne restera bientôt plus personne sur ce site, ce qu'il faudrait à tout prix éviter ...

Chacun écrit ce qu'il ressent dans la mesure où il ne fixe pas à autrui les normes qui seraient acceptables, je crois qu'en Alsace, on a assez souffert ( dans le passé, pas moi ! ) des différents patriotismes et nationalismes des vainqueurs successifs ! Jean Ferrat chantait, en conclusion : Aujourd'hui, c'est l'été !!! dans "Nuit et Brouillard"

Par ailleurs, il m'est arrivé dans le passé de croire en une chose que je désapprouve aujourd'hui, il m'a fallu plus d'une fois me remettre en question

[alej]

Comme disait Germain Muller : Wir sind die letzten, die allerletzten !

Ça m'étonnerait qu'écrivant « Mer senn schien’s d’Letschte, ja d’Allerletschte », il ait dit ce que tu écris...

[Bliz]

J'aurai aimé que l'on organise simplement une fête, que l'on aurait appelé ainsi, en toute simplicité. J'aurai aimé que l'orchestre porte un nom quelconque, un peu humoristique, peut-être même, faisant peut-être référence à son origine alsacienne locale. Y a-t-il donc lieu d'en avoir honte ?

Pourquoi tant de références à un Schwaissdissi, qui n'y peut rien, ou bien aux « Oberkrainer », qui n'ont aucun lien avec cette fête ? Ne suffit-il donc pas que l'on organise une fête locale que l'on appelle ainsi ?

C'est mon avis personnel, bien sûr et je ne demande à personne de le partager. Mais ça me révolte quand-même de voir qu'une simple fête locale ait honte de son origine locale et que l'on implore les grands dieux lointains pour la justifier. 

[Bliz]

Comme disait Germain Muller : Wir sind die letzten, die allerletzten !

Ça m'étonnerait qu'écrivant « Mer senn schien’s d’Letschte, ja d’Allerletschte », il ait dit ce que tu écris...

Oui, car cela signifie, que nous sommes apparemment les derniers, les tous derniers.

…und der letzte macht das Licht aus !