"Dans la famille de Gilles Weinzaepflen, l’arrière grand-père, Joseph, n’avait que 5 ans lorsqu’il s’est réveillé allemand en 1871, mais il ne l’a jamais accepté. Dans la légende familiale, telle que nous la raconte Le liseré vert, il était vu comme un héros, pour avoir apposé sur la porte du restaurant L’aigle d’or, qu’il tenait rue du Sauvage, un panonceau « Interdit aux Allemands », et cela en pleine première guerre mondiale. En refaisant l’histoire au fil des bornes, Gilles Weinzaepflen a appris que la ville avait changé plusieurs fois de mains en août 1914 et que le panneau avait vraisemblablement été posé pendant ces quelques jours où Mulhouse était redevenue française…" DNA 24/09/20