Evidemment, la justice n'est pas la même outre-Atlantique. Dans le cas que Vauban Fifty Eight nous indique, il s'agit peut-être même d'un Mulhousien puisqu'il signe ses "croûtes" : SEKEL ... A 2 500 $ "l'oeuvre", on peut déduire qu'il exercera ses discutables "talents" par ici, où les sanctions sont soit inexistantes, soit symboliques. Moi, on m'a toujours dit qu'on respecte les gens qui se font respecter. Alors, les "artistes" de ce genre ont de belles perspectives au "pays de la liberté" ... au détriment du bien public que constitue le matériel ferroviaire. Bien loin d'approuver certains sévices pratiqués à grande échelle dans notre province entre 40 et fin 44, je connais quand même deux faits qui se sont produits dans la région mulhousienne. Il s'agit de blagues un peu poussées d'adolescents et qui ont connu tous deux le même aboutissement : convocation à la gendarmerie un jour de congé scolaire pour nettoyer à l'huile de coude les bicyclettes du personnel. Et je sais pertinemment que dans les deux familles, il n'y avait pas de problème d'insolvabilité puisque le dédommagement financier des victimes allait de soi, et au préalable. Je ne doute pas que ce traitement, aujourd'hui, entraînerait des réactions des bonnes âmes qui ne manqueront pas de fustiger ces "excès" ...